mercredi 2 juin 2010

revisions des personnages historiques

……………………………..(Salvador),1908-1973.
Président de la République chilienne en 1971, renversé par un coup d'État militaire (Pinochet) en 1973.

……………………………….(George), né en, 1929.
Vice-président, républicain des Etats-Unis 1980-1988), président de 1998 à 1992.

……………………………….. (Jimmy), né en 1929.
Président démocrate des EtatsUnis (19761980).

……………………………….. (Fidel), né en 1927.
Révolutionnaire cubain qui a pris le pouvoir en 1959. Il s'est aligné sur les Soviétiques tout en exerçant une grosse influence sur le mouvement des non-alignés.

……………………(Charlie), dit Charlot, 18891977.
Acteur anglais installé aux Etats-Unis qui a critiqué dans ses films le travail à la chaîne ("Les temps modernes"), les dictatures, avant d'être la cible du maccarthysme.

………………………………..(Winston), 1874-1965.
Premier ministre britannique pendant la Deuxième Guerre mondiale.

…………………………………. (Dwight), 1890-1969.
Général commandant les forces alliées pendant la Seconde Guerre mondiale, président républicain des Etats-Unis (1952-1960)

…………………………… (Francisco), 1892-1975.
Général espagnol qui dirige un coup d'État contre la République. Vainqueur de la guerre civile (1936-39), il instaure une dictature jusqu'à sa mort.

…………………….. (dit Mahatma, "la Grande Âme, 1869-1948.
Avocat indien qui inspire la résistance nationaliste contre la domination anglaise.

…………………………………(Charles), 1890-1970.
Général français qui lance le 18 juin 1940 son fameux "appel" , point de départ de la résistance. Il fonde la Vème République dont il devient président.

………………………………… (Valéry). né en 1926.
Ministre de De Gaulle, président de la République française (1974-1981).

……………………………….(Mikhail). Né en 1931.
Premier secrétaire du P.C. de l'Union soviétique, principal dirigeant de1985 à la disparition de l'URSS.

…………………………………..(Adolf), 1889-1945.
Fondateur du parti nazi qui prend le pouvoir en Allemagne en 1933.

……………………………….. (John F.), 1917-1963.
Président démocrate des États-Unis élu en 1960, assassiné en 1963.

………………………………… (Nikita), 1894-1971.
Premier secrétaire du P.C. de l'Union soviétique, principal dirigeant de 1956 à 1964.

………………………… (Martin Luther), 1929-1968.
Pasteur protestant noir qui lutta contre la ségrégation raciale aux U.S.A. jusqu'à son assassinat (le jour de son assassinat est devenu fête nationale aux Etats-Unis).

…………………………………(Pierre), 1883‑1945.

Président du Conseil dans les années 30 puis principal ministre de Pétain qui prône la collaboration avec l'Allemagne nazie.


………………………………………………….. (Philippe de Hautecloque, dit),1902‑1947.

Officier de la France libre, promu Maréchal de France.


………………………………….. Zédong, 1893‑1976.

Chef du parti communiste chinois qui accède au pouvoir en 1949 et dirige la Chine jusqu'à sa mort.

…………………………………. (Pierre), 1907‑1982.

Ministre du gouvernement provisoire de De Gaulle. Radical, président du Conseil sous la IVè République, négociateur des Accords de Genève (1954).


……………………………… (François), 1916‑1996

Plusieurs fois ministre sous la IV‑ République, principal opposant socialiste au général de Gaulle. Elu président de la République en 1981 et réélu en 1988.


…………………………………… (Jean), 1899‑1943

Unificateur de la Résistance contre l'occupant nazi (C.N.R.), torturé à mort.

………………………………… (Benito), 1883‑1945.

Ancien instituteur socialiste, fondateur du parti fasciste, qui accède au pouvoir en Italie en 1922.

…………………………, (Gamal Abdel), 1918‑1970.

Officier égyptien qui accède au pouvoir en 1952 et nationalise le canal de Suez (1956).Ce leader du Tiers‑Monde se rapprocha des Soviétiques.


………………………………. (Richard), né en 1913.

Président républicain des Etats‑Unis élu en 1968 et 1972, démissionnaire en 1974.

………………………………… (Philippe) 1859‑1951)

Général vainqueur de Verdun (1916), Maréchal de France. Fondateur de l'Etat français en 1940, il collabore avec les Allemands.

………………………………… (Pablo), 1881‑1973.

Peintre espagnol installé en France, auteur des « demoiselles d ‘Avignon » , de « Guernica ».

………………………………(Georges), 1911‑1974.

Premier ministre de De Gaulle (1962‑1968) puis président de la République (1969‑1974).


…………………………… (Ronald), né en 1911.

Président républicain des Etats‑Unis durant deux mandats, (1980‑1988).


……………………………(Franklin D.), 1882‑1945.

Président démocrate des Etats‑Unis, élu en 1932 auteur du New Deal, réélu trois fois (1936, 1940, 1944).

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……………(Joseph Djougatchvili, dit), 1892‑1953.

Chef bolchevik, premier secrétaire du P.C. de l'Union soviétique, il installe après la mort de Lénine (1924) une terrible dictature.


………………………………….. (Harry), 1884‑1972.

Vice‑président démocrate et successeur de Roosevelt (l945‑1948), président élu (1948‑1952). Il achève la Seconde Guerre mondiale en utilisant la bombe atomique et met en place le plan Marshall

La France dans le monde

1. La France est une puissance économique

1.1. qui a certes perdu un Empire(p.350-351, 354-355 ;356)

En 1935, 26 % des importations françaises provenaient de son empire colonial, tandis que 32 % des exportations françaises s'y dirigeaient. C'est dire à quel point, pour la France, le processus de la décolonisation, entre 1945 et 1962, n'a pas été seulement une question politique mais aussi un problème économique.

Certes, le débat est ouvert entre les historiens pour savoir si l'Empire a été économiquement rentable pour la France ou s'il a constitué, au contraire, un poids et un frein. Un fait demeure toutefois: avant 1939, les échanges étaient intenses entre la France et ses colonies, et la disparition de ces dernières a contraint le pays à d'importantes reconversions.

1.2. mais qui joue un rôle important dans la construction européenne(p 350-351 et p364-365)

En même temps que la France perdait ses colonies, dans les années 1950 et au début des années 1960, s'enclenchait le mouvement de construction européenne.

La France a joué alors un rôle important dans la signature en 1957 du traité du Rome qui donna

naissance à la Communauté économique européenne. Au terme d'un demi-siècle de

processus, et par-delà les débats politiques que suscite encore la construction européenne, les conséquences pour l'économie française sont considérables :

- la France mène désormais toutes ses activités économiques au sein d'une Union européenne, où les hommes, les produits et les capitaux circulent librement;

- elle en est, derrière l'Allemagne réunifiée, la deuxième puissance industrielle

- 62 % du commerce extérieur français se font avec l'Union européenne, dont 18 % avec la seule Allemagne ;

- l'agriculture française est la première en Europe. Son activité est conditionnée par les modalités de la Politique agricole commune. Pour cette raison, l'« Europe verte » reste, chez les paysans français, un sujet de discussion sur les effets jugés positifs ou nocifs de la réglementation européenne en matière agricole ;

- dans des secteurs industriels de pointe, alliant recherche et investissements, la coopération européenne a permis la réalisation de grands projets où l'Union européenne concurrence avec succès les États-Unis. Tel est le cas, dans l'aéronautique, des programmes Airbus, et, dans le domaine astronautique, du programme Ariane,

1.3 et qui est toujours une puissance économique de premier plan (p.362)

Que ce soit dans le cadre européen, à l'intérieur duquel s'effectue une large part de ses échanges ou dans le cadre mondial, la France reste dans le peloton de tête des puissances économiques.

Avec 1 % de la population, elle représente 5 % du PNB mondial et se situe au cinquième rang des puissances économiques, derrière les États-Unis, la Chine, le Japon et l'Allemagne.

La fonction commerciale, notamment, est nécessaire à son économie :

la France exporte plus du cinquième de son produit intérieur brut. Une grande partie de ces exportations est constituée de produits manufacturés.

Si l'agriculture française domine, en effet, celle des autres pays de l'Union européenne et demeure le premier poste excédentaire de la balance commerciale française, les produits de l'industrie française s'exportent également: automobiles, avions, armements, machines de bureau, électronique, produits de l'industrie chimique.

Les exportations se heurtent à une concurrence mondiale de plus en plus forte. Néanmoins la renommée de l'économie française reste grande dans certains domaines: aéronautique civile et militaire (parfois dans le cadre d'une coopération européenne) ; industries de luxe (parfums, haute couture) qui contribuent au rayonnement français et aident aussi indirectement à consolider un autre secteur d'activité : le tourisme (76,5 millions de touristes étrangers en 2001) qui représente 8 % du PIB.


2 La présence française dans le monde

2.1. Les attributs de la puissance

La France est l'une des premières puissances du globe.

Elle est l'un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU,

l'un des huit membres du G8,

l'un des membres prédominants de l'Union européenne

et une puissance nucléaire.

La France, en effet, s'est dotée depuis longtemps d'une force de dissuasion nucléaire (bombe A en 1960 et bombe H en 1968) fondée sur plusieurs types de vecteurs : les Mirages IV dès les années 1960, puis les missiles installés en Provence sur le plateau d'Albion, et surtout les sous-marins nucléaires, devenus le fer de lance de cette force.

Au temps de la guerre froide, cette dissuasion nucléaire reposait sur la notion de représailles massives, censées dissuader l'adversaire potentiel d'attaquer le territoire national. La disparition de l'URSS a changé les données de la stratégie française. La loi de programmation militaire, qui portait sur la période 1995-2000, avait pour objectif de moderniser l'armée française. Elle entendait assurer à la fois le maintien de la force nucléaire et celui des forces conventionnelles d'intervention rapide (aviation, marine et infanterie). Ces dernières sont intervenues dans le cadre d'opérations internationales, par exemple en ex-Yougoslavie ou au Rwanda.

2.2. La francophonie et son influence culturelle lui donne aussi un rayonnement mondial

Plus encore que par sa puissance militaire ou diplomatique, c'est par la diffusion et l'usage de sa langue que la France rayonne dans le monde.

Plus de quarante États sont directement concernés par cet usage, fruit de l'histoire, qu'il s'agisse de la colonisation (Afrique noire, Afrique du Nord, péninsule indochinoise),

d'un passé commun (Québec)

ou de liens culturels traditionnellement forts (Roumanie, Bulgarie).

Le terme francophonie a d'abord un sens linguistique: il désigne les locuteurs de la langue française dans le monde. Le nombre de ces locuteurs est d'ailleurs difficile à évaluer précisément, car il faut distinguer ceux qui parlent couramment le français et ceux qui peuvent l'utifiser ponctuellement.

À partir des années 1960, le terme francophonie a pris une dimension politico-culturelle: il désigne un projet commun à tous ceux qui parlent le français et qui veulent promouvoir cette langue internationale. Avec un F majuscule, la Francophonie est l'ensemble des pays qui soutiennent ce projet (membres de l'Organisation internationale de la Francophonie).

La francophonie se double d'un rayonnement de la culture française, qui dépasse amplement l'aire linguistique francophone.

Là encore, le poids de l'histoire reste fort, la littérature française ayant toujours connu un large écho dans le monde.

De grands auteurs français sont devenus universels (ainsi Victor Hugo ou Voltaire), de grands intellectuels ont connu une audience internationale (Jean-Paul Sartre, Albert Camus).

Mais cette diffusion de la culture et ce prestige de la langue se sont de plus en plus heurtés, au XXe s., à la concurrence de la langue anglaise. À la suprématie des médias anglo-saxons s'ajoute le poids de l'économie, de la science et de la technologie américaines. L'anglais est de plus en plus la langue des affaires et de la science.

Dans les domaines culturels comme le cinéma et la télévision, la place de l'anglais est devenue également prédominante. À tel point que, dans les négociations sur le commerce international, on voit apparaître une demande européenne pour que soit préservée « l'exception culturelle »: c'est-à-dire que les productions relevant de la culture ne soient pas régies par les seules règles du marché. Une telle notion a entraîné, dans les années 1990, de vifs débats en France dont l'ampleur même révèle que le rayonnement culturel est considéré comme une part de l'identité française.

2.3 Une crise d'identité ?

Ces discussions sur le rayonnement de la langue et de la culture françaises aussi bien que sur la construction européenne touchent donc aux interrogations sur l'identité française. Les uns voient dans l'accélération de l'intégration européenne un danger de dilution de cette identité, les autres y perçoivent, au contraire, le gage d'un rebond économique et d'un regain de puissance.

De même, la France, traditionnellement terre d'accueil et d'asile, s'interroge, à travers des débats qui divisent la nation, sur les flux d'immigration qu'elle peut accueillir et sur le fonctionnement des mécanismes d'intégration qui, jusqu'ici, avaient permis l'absorption dans le creuset français de populations venues du reste du monde.


FIN FIN FIN FIN FIN FIN FIN FIN FIN FIN

dessous des cartes sur la Russie.

des cartes récentes sur la Russie:
http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/le-dessous-des-cartes/392,CmC=396,view=maps.html